Et si, au lieu de seulement nous protéger et nous cacher le visage, les masques donnaient accès à notre intériorité et à notre imaginaire ?
Quitte à devoir porter des masques, autant s’en servir pour notre film et les « retourner » à notre avantage. Utilisés comme fond vert, nos masques vont s’ouvrir, telles des fenêtres, pour observer, s’évader, jouer, rire.
A travers eux, nous allons explorer nos imaginaires, nos souvenirs, nos peurs, nos désirs, et remettre en jeu nos identités, nos genres, nos goûts et nos couleurs – en nous les prêtant, en en essayant d’autres.
Je vous propose un atelier ludique d’expérimentation, de partage et d’échanges pour nous découvrir. Nous ne tomberons pas les masques, mais nous allons en profiter !
Cédric Venail
Réalisateur