Fabien
John Brown voulut le tirer de sa prison
et leva mille tambours.
{Refrain}
Quand il a pris l’arsenal au petit jour il a pensé
que toute une armée d’esclaves viendrait combattre à ses côtés,
mais quand l’homme n’est pas prêt, il a peur de la liberté,
et personne n’a bougé.
Amine
La liberté pour moi c’est de voyager où on veut,
La liberté pour moi c’est de poser les questions qu’on veut,
La liberté pour moi c’est c’est de faire ce qu’on veut.
Anaïs
Mais je pense que la liberté en elle-même est bien plus compliqué que ça et que sa définition est purement subjective. Ma définition est simple : Etre libre c’est être heureux, se sentir sans contraintes et sans problèmes.
Je me sens libre quand je suis dans ma chambre, sur mon lit avec de la musique dans mon casque audio. Je me sens aussi libre quand je me maquille, quand je dessine où quand je parle avec mes amies. Je me sens libre quand je fais des choses que j’aime. En revanche, je ne me sens pas libre quand je suis avec mes parents. Je sais que si je parle un peu mal ou que je fais quelque chose qui ne leur plait pas, ils me disputeront et c’est pour cela que je ne me sens pas réellement libre. Je ne me sens pas libre au collège, car je ne peux pas manger ma nourriture même si je jette mes déchets.
Je parlais là de ma liberté individuelle, mais il y a aussi la liberté collective, où nous devons sacrifier une partie de notre liberté individuelle pour la liberté collective, pour que tous les individus de la collectivité soient biens.
En réalité, je ne pourrai pas donner une définition au mot “liberté”. Et y penser me fait beaucoup me questionner sur le sens de ma vie, si je suis libre où pas.
Jenny
-“ La liberté de l’homme consiste à ne jamais faire ce qu’il ne veut pas. ”
Citation de Jean-Jacques Rousseau ; Les rêveries du promeneur solitaire (1777)
Suzanne C
» la liberté de l’homme consiste à ne jamais faire ce qu’il ne veut pas » -Jean Jacques Rousseau
» Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. »-Nelson Mandela
Claire
Et d’être libre de penser et d’agir sans qu’on t’impose un droit ou un choix.
La liberté est une chose que nous seul devons posséder dès que nous naissons et que seul nous devons dépendre de notre liberté propre.
Je m’envole
Je suis comme un oiseau, comme les oiseaux volants
Librement je vole, je peux respirer
Emmène moi au nouveau monde, peu importe où c’est
Si jeux peux m’échapper de cette place irritante
Librement je vole, je peux respirer
Je peux voler si loin.Voler loin
Ewa
De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ?
De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages,
Aux sources, à l’aurore, à la nuée, aux vents ?
De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ?
Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître
L’aile pour l’accrocher au clou de ta fenêtre ?
Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ?
Qu’est-ce qu’ils ont donc fait tous ces innocents-là
Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ?
Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ?
Qui sait si le verdier qu’on dérobe aux rameaux,
Qui sait si le malheur qu’on fait aux animaux
Et si la servitude inutile des bêtes
Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ?
Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ?
Oh! de nos actions qui sait les contrecoups,
Et quels noirs croisements ont au fond du mystère
Tant de choses qu’on fait en riant sur la terre ?
Quand vous cadenassez sous un réseau de fer
Tous ces buveurs d’azur faits pour s’enivrer d’air,
Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue,
Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue,
Croyez-vous que le bec sanglant des passereaux
Ne touche pas à l’homme en heurtant ces barreaux ?
Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde !
Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde.
Ne comprenez-vous pas que vous êtes méchants ?
À tous ces enfermés donnez la clef des champs !
Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles ;
Les âmes expieront tout ce qu’on fait aux ailes.
La balance invisible a deux plateaux obscurs.
Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs !
Du treillage aux fils d’or naissent les noires grilles ;
La volière sinistre est mère des bastilles.
Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux !
Toute la liberté qu’on prend à des oiseaux
Le destin juste et dur la reprend à des hommes.
Nous avons des tyrans parce que nous en sommes.
Tu veux être libre, homme ? et de quel droit, ayant
Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ?
Ce qu’on croit sans défense est défendu par l’ombre.
Toute l’immensité sur ce pauvre oiseau sombre
Se penche, et te dévoue à l’expiation.
Je t’admire, oppresseur, criant: oppression !
Le sort te tient pendant que ta démence brave
Ce forçat qui sur toi jette une ombre d’esclave
Et la cage qui pend au seuil de ta maison
Vit, chante, et fait sortir de terre la prison.
Victor Hugo
Suzane L
Je suis la liberté
Peu m’importe que mon nom ne soit pas connu.
Peu m’importe que mon nom ne soit pas entendu.
Je suis le vent qui souffle par tous les temps,
Je suis l’air qui frémit quand vient le printemps.
Je suis l’eau qui jaillit quand la terre se dessèche.
Je suis l’arbre qui grandit quand la forêt s’embrume.
Je suis le lutin des saisons chaudes et sèches.
Je suis le bateau perdu au fond des brumes.
Je suis l’enfant aux yeux remplis d’espoir.
Je suis le moissonneur heureux de son labeur.
Je suis l’étranger à qui l’on dit bonjour.
Je suis le retraité au sein de sa famille.
Je suis la femme satisfaite de l’être.
Je suis le travailleur qui relève la tête.
Peu m’importe que mon nom ne soit pas connu.
Peu m’importe que mon nom ne soit pas entendu.
Je suis moi,
Je suis vous,
Je suis la liberté,
Je n’habite nulle part
Et je m’en vais partout.
La terre est ma patrie,
Le ciel est mon espace,
La lune veille mes nuits,
Le soleil éclaire mes jours.
Je suis la liberté
Rêves et réalités
Au fond de votre cœur.
Nathalie Lefebvre
Rayan
Si l’on recherche en quoi consiste précisément le plus grand bien de tous, qui doit être la fin de tout système de législation, on trouvera qu’il se réduit à ces deux objets principaux, la liberté et l’égalité.
La liberté, parce que toute dépendance particulière est autant de force ôtée au corps de l’État : l’égalité, parce que la liberté ne peut subsister sans elle.
J’ai déjà dit ce que c’est que la liberté civile ; à l’égard de l’égalité, il ne faut pas entendre, par ce mot, que les degrés de puissance et de richesse soient absolument les mêmes ; mais que, quant à la puissance, elle soit au-dessous de toute violence, et ne s’exerce jamais qu’en vertu du rang et des lois, et, quant à la richesse, que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre, et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre : ce qui suppose, du côté des grands, modération de biens et de crédit ; et du côté des petits, modération d’avarice et de convoitise.
Cette égalité, disent-ils, est une chimère de spéculation qui ne peut exister dans la pratique ; mais si l’abus est inévitable, s’ensuit-il qu’il ne faille pas au moins le régler ?
C’est précisément parce que la force des choses tend toujours à détruire l’égalité, que la force de la législation doit toujours tendre à la maintenir.
Clémence
La liberté c’est être libre de ses propres choix sans aucun jugement de la part d’autrui.
La liberté c’est aussi suivre le chemin qui nous est destiné tout en acceptant, les personnes qui nous font avancé et qui nous donne des ondes positives, dans notre bulle.
La liberté c’est aussi rêver sans en finir, de rester soi même dans toute les circonstances.
La liberté c’est aussi la musique elle nous permet de s’évader d’être loin de ses problèmes.